L’agriculture est un secteur d’activité à part. De son installation à sa retraite, l’agriculteur doit investir régulièrement pour maintenir sa productivité et les banques ne répondent pas toujours présentes. Mais une autre solution s’offre aux agriculteurs : le prêt personnel agricole sans banque. Comme son nom l’indique, ce mode de financement permet d’obtenir les fonds nécessaires sans passer par une banque.
Faire vivre une exploitation agricole coûte cher. L’agriculteur a besoin d’une somme importante dès son installation pour financer l’acquisition des terres, du matériel et des bâtiments notamment. Les agriculteurs peuvent aussi faire le choix de reprendre un fonds agricole. Équivalent au fonds de commerce, le fonds agricole regroupe l’ensemble des éléments cessibles composant l’activité de l’exploitant, à savoir :
L’immobilier n’entre donc pas ici en ligne de compte.
Mais tout ceci n’est qu’un point de départ. Après plusieurs années à travailler sur l’exploitation, les agriculteurs doivent remplacer certaines machines en investissant par exemple dans une moissonneuse-batteuse ou un tracteur plus moderne et plus efficace. Ils doivent aussi faire face aux aléas climatiques. Lors de certaines années noires, ils peuvent avoir besoin de fonds pour limiter les problèmes de trésorerie. Une recrudescence de clients peut également les inciter à faire une acquisition ou à faire construire un nouveau bien immobilier pour agrandir l’exploitation. Pour répondre à tous ces besoins, les agriculteurs sont nombreux à se tourner vers le crédit, à l’instar du prêt personnel agricole.
Le statut des agriculteurs peut effrayer les banques. En effet, les organismes bancaires préfèrent souvent prêter à des personnes aux revenus stables, ne dépendant ni du nombre de clients ni d’autres facteurs amenés à évoluer. Les agriculteurs qui souffrent des incertitudes du climat, des récoltes ou du cours des matières premières obtiennent plus difficilement des prêts. Mais d’autres possibilités existent. Le prêt personnel agricole sans banque est une solution de financement pour les agriculteurs. Sur le principe du financement participatif, l’agriculteur bénéficie de l’épargne de particuliers investisseurs, délestée des frais bancaires. Ce mode d’emprunt gagnant-gagnant assure un taux juste, une réponse rapide et permet d’éviter les frais cachés ! C’est ce que propose Younited Credit, au travers de prêts personnels aux particuliers aussi souples que transparents.
Younited Credit ne distribue pas de prêt personnel agricole, pour la bonne et simple raison que nous ne sommes pas habilités à financer les projets professionnels. Toutefois, pour permettre aux agriculteurs d’obtenir un financement au meilleur taux, nous les redirigeons vers nos partenaires de confiance spécialisés dans ce domaine.
Pour comparer les offres de prêts, rendez-vous en haut de page, puis dans la partie « votre projet », choisissez « financement pour votre entreprise/crédit professionnel ». Une fenêtre s’affiche alors, vous demandant de choisir quel montant vous souhaiter emprunter pour le financement de votre installation : plus de 10 000 euros ou moins de 10 000 euros. Une fois ce choix fait, laissez-vous guider pour trouver le crédit sans banque au taux le plus avantageux !
Plutôt de que réaliser l’installation de leur exploitation de A à Z, Jade et Joris, jeunes agriculteurs, ont bien l’intention de reprendre un fonds agricole. Le montant à débloquer pour financer celui qui les intéresse est fixé à 300 000 euros. Ils disposent, en parallèle, d’un apport de 100 000 euros (« accessoirement », cet apport leur permettra de baisser le taux de leur crédit). Le montant du financement se monte donc à 200 000 euros.
Après avoir renseigné ceci sur le comparateur de prêts, il leur est notamment demandé d’indiquer :
Après quelques petites étapes supplémentaires, le couple pourra avoir accès aux offres de prêt avec ou sans banque correspondant à son projet et à son profil : une démarche simple, gratuite et sans engagement.
Comme pour tous les autres prêts, crédit immobilier y compris, le choix est donné aux agriculteurs. Pour assurer leur prêt personnel agricole, ils peuvent en effet refuser l’assurance de groupe au profit d’une autre assurance à taux plus attractif, et donc moins chère. On parle dans ce cas de délégation d’assurance.
Assurance de groupe vs assurance individuelle : la différence
Pour rappel, l’assurance de groupe correspond à l’assurance proposée par la banque émettrice, c’est-à-dire la banque qui accorde le prêt. L’assurance individuelle, elle, est une assurance extérieure.
Comme n’importe quel autre emprunteur particulier ou professionnel, les agriculteurs ont la possibilité de faire valoir leur droit à délégation d’assurance :
Vous n’en êtes pas encore à l’installation de votre exploitation, mais au stade des études dans un établissement d’enseignement secondaire agricole en France ? Pour les financer, la bourse prévue par l’État — si vous y êtes éligible — peut ne pas suffire à couvrir les frais en fonction des revenus familiaux. Bonne nouvelle : vous pouvez tout à fait recourir au prêt personnel agricole en parallèle.
Un dispositif de financement est spécialement dédié aux étudiants en France : le prêt étudiant garanti par l’État. Le montant accordé dépend des banques, mais il existe un plafond qui ne peut en aucun cas être dépassé : 15 000 euros. Le taux, lui, est librement fixé par la banque. L’avantage du prêt étudiant garanti par l’État, par rapport au prêt personnel agricole, c’est que les futurs agriculteurs peuvent commencer à le rembourser une fois leurs études terminées. Seules les banques ayant signé une convention avec l’État sont habilitées à distribuer ce type de crédit.
Mais pour pouvoir en bénéficier, il faut :
Par contre, il n’y a pas de plafond de revenus.
Conseil : faites votre demande le plus tôt possible
Les banques accordent les prêts étudiants jusqu’à épuisement de l’enveloppe annuelle prévue par l’État. Mieux vaut donc être sur le haut de la pile !
Adapté à tout type de projet, le prêt personnel agricole participe à augmenter la productivité des agriculteurs, et ainsi, à booster leur compétitivité. Cela profite notamment aux petites et moyennes entreprises, confrontées de plein fouet à un marché toujours plus tendu.